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L’établissement accueillera ses premiers étudiants à sa nouvelle École d’innovation sociale en septembre.
Les professeurs qui le souhaitent pourront ainsi transmettre leur savoir et leur expertise au grand public.
La nouvelle liste, lancée par une entreprise américaine, se veut une solution plus transparente que la Beall’s List.
La rotation des dirigeants à la tête des universités québécoises s’est récemment accentuée, mais la quête de successeurs n’est pas aisée.
Les photos offertes à l’Université par des contributeurs du New York Times arrivent à point nommé pour le sesquicentenaire.
Une organisation dirigée par des étudiants à l’Université Wilfrid Laurier décerne des bourses d’études à des étudiants qui fuient la guerre.
« Si l’on compare à Paris, Boston ou Toronto, la ville de Montréal manque d’innovation dans ce domaine. »
Les Prix du Gouverneur général pour l’innovation, les prix Feuille d’or des IRSC et les prix et bourses de recherche Killam tous décernés en mai.
Le Québec multiplie les efforts pour attirer plus d’étudiants internationaux et les convaincre de rester après avoir obtenu leur diplôme.
Conférences, lancements de livre, expositions et concerts auront lieu sur les campus pour célébrer cet anniversaire.
La Cour supérieure du Québec est revenue sur sa décision d’obliger la chercheuse Marie-Ève Maillé à dévoiler ses données de recherches confidentielles.
Des universitaires échangent sur les défis du marché du travail pour les doctorants et sur les changements à apporter pour faciliter la transition.
Répondre au besoin d’enseignants de français et faciliter les échanges sont les objectifs au cœur de la lettre d’intention.
Alors que le décret émis par le président Trump fait son chemin devant les tribunaux, les universités canadiennes tendent la main aux étudiants et aux universitaires étrangers dont l’avenir est compromis aux États-Unis.
Une professeure de l’Université Western a obtenu gain de cause dans une deuxième affaire en moins d’un an portée devant un tribunal du Québec.
« Le regard sur les peuples autochtones peut parfois être erroné, voire déformé par l’interprétation des auteurs (chercheurs).»
Les données ont été recueillies, pour la première fois en cinq ans, par l’entremise du SPEUC, un système rétabli l’automne dernier par le gouvernement fédéral.
Le milieu de la recherche doit maintenant se trouver une cause commune et se rallier aux recommandations, selon le président du Comité.
Le Festival Wela’lin permet aux deux peuples d’engager un dialogue.
La recherche dans le Grand Nord canadien se porte bien grâce au réseau ArcticNet, mais les fonds seront épuisés en 2018.