Articles de fond
Que signifie ce titre dans les universités canadiennes? De nos jours, tout dépend de la personne à qui on s’adresse.
Récit de fiction.
Les 60 ans d’excellence du Canada en aérospatiale.
Le Canada compte quelques programmes privés de bourses d’études ciblés et non réservés aux enfants des employés des entreprises qui les offrent.
Le sociologue Anthony Synnott fait l’éloge de l’homme et dénonce la misandrie et les « féministes victimisées ».
Si les écosystèmes de la planète sont en péril, comment se fait-il que l’humanité semble prospérer? Un groupe de Canadiens s’est penché sur la question, touchant ainsi une corde sensible.
Si vous n’avez pas mis les pieds dans une résidence depuis longtemps, vous serez sans doute surpris.
Harvey Weingarten et l’organisme qu’il préside veulent faire bouger les choses dans le secteur de l’éducation postsecondaire.
Pirates, renégats et éléments subversifs constituent le terrain d’étude du sociologue.
Le réseau a vu le jour en 1999 dans le cadre du programme des Réseaux de Centres d’excellence (RCE) du gouvernement fédéral dans le but de trouver des façons d’établir un dialogue entre les mathématiciens et l’industrie.
Chaque année, un millier de personnes font un legs bien particulier aux universités canadiennes : ils donnent leur corps à la science.
Pourquoi un pays qui a la chance de posséder autant de ressources naturelles a-t-il autant de mal à innover et à accroître la productivité de sa main-d’œuvre?
C’est vrai, les universités sont imprégnées de traditions. Si certaines ont subsisté, d’autres n’ont pas résisté à la mutation des universités au fil du temps.
Extrait d’un nouvel ouvrage qui porte sur la Fondation canadienne des bourses d’études du millénaire.
Pour un vrai changement, il faut repenser radicalement le processus d’enseignement et d’apprentissage.
On dit qu’elles sont négligées, parce qu’on leur accorde très peu d’attention dans les pays industrialisés, où elles sont inexistantes ou depuis longtemps disparues.
Les dénonciateurs sont souvent aux prises avec un choix quasi impossible à faire : révéler un tort et en subir les conséquences potentielles, ou fermer les yeux et laisser aller la situation.
La manière de mesurer la science est le reflet de l’époque.
« Toutes ces langues sont menacées, affirme une universitaire. Toutes sans exception. »
Le régime d’assurance-maladie complémentaire de l’Université Ryerson, où j’enseigne, couvre les traitements d’acupuncture, de massothérapie, de naturopathie et de chiropratique, mais pas les soins de santé mentale.