À mon avis
En travaillant aux affaires étudiantes, nous avons la chance d’user de créativité et du cadre unique de notre travail pour aller à la rencontre des étudiant.e.s marginalisé.e.s et sous-représenté.e.s et pour leur offrir un soutien.
En demandant à des groupes étudiants de revenir sur des déclarations controversées, la ministre des Collèges et Universités de l’Ontario a prouvé que la politique de son gouvernement n’était que du vent.
L’intelligence artificielle et les grands modèles de langage ont la capacité d’uniformiser les règles du jeu dans les universités, mais certain.e.s s’y opposeront et voudront préserver les hiérarchies établies.
L’importance de prendre en considération le vécu des personnes autochtones et racisées afin de corriger les iniquités en santé sur nos campus.
Se confronter à la pratique du transfert de connaissances n’est pas chose facile. Il faut délaisser le jargon scientifique et aller à l’essentiel pour informer et convaincre.
Au lieu de tenter de trouver la « meilleure » candidature, les comités devraient plutôt dénicher celle qui cadre le mieux dans leur département.
Les universitaires doivent s’engager à offrir des débouchés équitables aux femmes et aux personnes dotées d’identités intersectionnelles s’identifiant comme femmes.
Les politiques d’acceptation des dons doivent refléter les valeurs des établissements.
En ciblant certains comportements, il est possible d’améliorer considérablement le bilan environnemental des activités de recherche sans en compromettre la qualité.
Déconstruisons le contexte racial et historique entourant ce terme controversé.
Nous devons être plus aptes à entrer en relation et à apprendre d’autrui tout en prenant en considération l’ensemble des complexités et déséquilibres de pouvoir.
Il faut revoir nos pratiques d’enseignement.
Le président-directeur général sortant d’Universités Canada fait le point sur 14 ans de travail dans le milieu de l’enseignement supérieur.
Une étude de l’Institut du Québec révèle que le fédéral refuse la moitié des demandes de permis d’études aux étudiant.e.s provenant de l’étranger sélectionné.e.s par le Québec et accepté.e.s par une université québécoise.
Depuis le début du siècle, un mémoire de maîtrise sur trois et une thèse de doctorat sur deux a été écrite en anglais, au Québec.
En fin de mandat, des membres du premier Conseil jeunesse de la conseillère scientifique en chef du Canada témoignent de leur vision de la science.
La situation impliquant Marc Tessier-Lavigne, recteur de l’Université Stanford, en est un exemple probant.
Des étudiant.e.s, des activistes et des universitaires préoccupé.e.s réclament une approche de la crise climatique axée sur la justice. Comment les universités s’engageront-elles?
La valeur d’outils comme ChatGPT dépend de l’usage que nous en faisons. C’est pourquoi la formation interdisciplinaire de premier cycle est plus importante que jamais.
Une analyse révèle que les critères budgétaires ne suffisent pas à déterminer ce qui assure le bon fonctionnement d’une revue savante.