À mon avis
Nous tendons à nous concentrer sur les droits qui sont associés à la liberté universitaire plutôt que sur la raison pour laquelle elle existe en premier lieu.
J’ai regardé autour de moi, et il m’est alors paru évident que j’étais le seul à ne pas comprendre les instructions.
Est-il raisonnable de prendre de nouvelles résolutions alors que nous manquons déjà de temps? Ou devrions-nous au contraire envisager de prendre des anti-résolutions?
Voici quelques idées favorables à la science, aux compétences et à l’innovation en vue des élections fédérales de l’automne.
Une nouvelle recommandation de l’UNESCO établit des lignes directrices pour les conditions de travail des chercheurs et leurs environnements.
Critiquer les vulgarisateurs nuit à l’application des connaissances et met en péril la planète.
Plutôt que de confier sa planification stratégique à des experts externes, la direction de l’Université de Sherbrooke a pris les rênes du processus et a engagé un dialogue avec les diverses parties prenantes.
L’UOF est l’aboutissement d’une longue lutte de la part de la communauté francophone.
Le gouvernement aurait peut-être réussi à mieux défendre sa position en cherchant à s’entendre avec la nouvelle université au sujet des contraintes budgétaires.
En plus de nous faire perdre du temps, rien n’indique qu’elles ont une réelle influence sur le processus décisionnel.
L’expérience de vie est une compétence transférable.
Selon des données probantes, les personnes exposées à certaines formes de stress peuvent avoir un plus grand sentiment de maîtrise et faire mieux face à l’adversité.
La raison derrière la volonté des chercheurs d’étudier les propriétés antiépileptiques prometteuses du cannabis.
Bon nombre de nouvelles exigences viennent de l’extérieur et ne sont pas un signe de mauvaise foi de la part de l’administration.
Ce qui pourrait apparaître comme un échec était pourtant une petite avancée scientifique : nous n’avions pas montré ce qui était, mais nous avions montré ce qui n’était pas.
La « dérive insidieuse de l’éthique » tend davantage à dissuader les chercheurs de réaliser des études qu’à protéger les participants.
« Si vous n’êtes pas capables de résumer votre travail en un Tweet, c’est que vous ne l’avez pas compris vous-même, ou que vous serez obligés d’utiliser le #Thread. »
Dans un rapport, un groupe de travail de l’Association canadienne pour les études supérieures conclut qu’il est temps de repenser le doctorat.
Une récente étude démontre que les observations réfléchies et convaincantes d’universitaires peuvent exercer une influence sur les débats et les politiques.
Les étudiants doivent demander de l’aide et le système doit leur fournir des solutions.