À mon avis
Les grappes sont souvent perçues comme une façon de favoriser la collaboration interdisciplinaire, mais elles s’accompagnent de défis particuliers.
Il ne faut pas craindre de faire des erreurs aux tests, cela contribue justement à l’apprentissage.
Chaque personne sur les campus a un rôle à jouer.
Nous devons reconnaître que le travail sera difficile, sans pour autant nous laisser décourager.
La science n’est généralement pas au cœur des préoccupations pendant les élections fédérales. Nous pensons que cela doit changer.
L’outil « La moulinette » aide les médiateurs scientifiques à mieux décrire et présenter leurs projets au grand public.
Alors que les risques juridiques et les obligations fiduciaires ne cessent de croître, il est difficile de comprendre comment les universités pourraient s’en passer.
Les chercheurs sont friands de déplacements à l’étranger. Or, les transports contribuent de façon importante aux émissions globales de gaz à effet de serre.
Le processus à l’aveugle et le sarcasme ambiant sur Internet encouragent des comportements grossiers et contraires à l’éthique.
Il faudrait encourager les doctorants à réfléchir plus à leur avenir professionnel.
Pour mesurer la valeur de la recherche scientifique, il faut comprendre et respecter le contexte social dans lequel elle s’inscrit.
Quelques suggestions fondées sur ma propre expérience.
L’accès aux études postsecondaires des peuples autochtones demeure un sujet d’intérêt au pays et plusieurs études à ce sujet ont été publiées.
Il devrait être possible de conjuguer carrière florissante en STGM et activités parentales gratifiantes.
Nous ne pouvons appliquer un savoir que nous n’avons pas. Le savoir provient de la création et de la découverte.
Ses réflexions peuvent nous aider à rendre l’expérience étudiante universellement plus juste et équitable.
La recherche-création combine la recherche universitaire et les activités créatives, comme la danse, la musique ou le design.
Les éditeurs canadiens publient plus de 200 revues savantes, dont beaucoup sont bilingues, et certaines centenaires.
Le professeur Jérôme Melançon décrit le quotidien d’un chercheur francophone œuvrant dans un milieu majoritairement anglophone.
Le Québec s’apprête à mettre en œuvre sur les campus la plus grande campagne de sensibilisation et de prévention des violences à caractère sexuel de son histoire. Mais a-t-on les bons outils?