Financement pour recherche
Regard sur l’émergence de la science en français au Canada.
Un regain d’intérêt à l’endroit du plus proche voisin de la Terre permet aux universitaires de développer l’expertise du Canada en matière d’exploration spatiale.
Le budget 2022 fait la part belle à l’abordabilité du logement, la croissance propre, la défense ainsi qu’aux investissements ciblés en recherche.
La préparation aux futures pandémies pourrait passer par les travaux de recherche entrepris depuis février 2020.
Certains universitaires soutiennent que la recherche sur la COVID-19 aurait dû faire partie des programmes de financement courants, ou ciblés.
Les lignes directrices s’appliqueront bientôt à d’autres organismes subventionnaires.
« C’est une annonce relativement répétitive puisqu’elle concerne des programmes stables », remarque Jim Woodgett.
« Nous devons changer de culture pour que les données, métadonnées et codes bien documentés soient jugés aussi précieux qu’un bon article publié dans une revue scientifique. »
L’indexation des bourses et subventions est un moyen simple de maintenir le niveau de vie des chercheurs en début de carrière.
C’est ce qui ressort d’un rapport qui servira à orienter les discussions dans le cadre de l’élaboration du plan stratégique 2030 du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie.
L’Alberta et le Manitoba réduisent leur financement au secteur postsecondaire, tandis que les autres provinces l’augmentent.
Le cauchemar vécu par l’Université Laurentienne pourrait se répéter si le gouvernement fédéral ne stabilise pas le secteur de l’éducation postsecondaire, prévient la présidente d’un groupe de travail de la Société royale du Canada.
Dans son premier budget en deux ans, le gouvernement fédéral investit massivement dans le secteur de la biofabrication et des sciences de la vie.
La reprise économique et sociale passe notamment par une hausse substantielle des budgets des trois organismes subventionnaires.
Les investissements en santé mentale et à plus long terme annoncés dans le budget québécois sont accueillis favorablement par la communauté universitaire.
Améliorer les infrastructures de laboratoire et la capacité de formation à l’échelle du pays permettrait de préparer nos chercheurs en cas d’émergence d’une nouvelle maladie.
Le gouvernement présentera un plan d’action, qui pourrait être accompagné d’un financement supplémentaire, visant à favoriser l’accès et la réussite à l’université.
« Les gouvernements et les scientifiques doivent coopérer » pour résoudre les grands problèmes mondiaux.
Les sages-femmes sont en nombre insuffisant au Canada pour répondre à la demande grandissante. Pour résoudre le problème de pénurie, il faudra faire davantage qu’ajouter quelques places aux rares programmes de formation existants.
L’Ontario dévoile sa nouvelle formule de financement pour les collèges et universités alors que l’Alberta songe à lui emboîter le pas.