La Conversation
De plus en plus d’établissements déclarent l’état d’urgence pour préparer personnel et étudiants à des temps plus difficiles.
La recherche montre qu’accepter son stress aide à se protéger des émotions négatives.
Il ne faut pas craindre de faire des erreurs aux tests, cela contribue justement à l’apprentissage.
L’outil « La moulinette » aide les médiateurs scientifiques à mieux décrire et présenter leurs projets au grand public.
Les chercheurs sont friands de déplacements à l’étranger. Or, les transports contribuent de façon importante aux émissions globales de gaz à effet de serre.
Il faudrait encourager les doctorants à réfléchir plus à leur avenir professionnel.
Le Québec s’apprête à mettre en œuvre sur les campus la plus grande campagne de sensibilisation et de prévention des violences à caractère sexuel de son histoire. Mais a-t-on les bons outils?
La vulgarisation met en jeu des ressorts et des relations au public plus complexes qu’il n’y paraît.
Le programme B.A.R.K. offre aux étudiants et membres de la communauté de passer du temps avec des chiens thérapeutes.
Seulement le tiers des scientifiques dans le monde sont des femmes, mais cette proportion chute brutalement pour celles issues des pays d’Afrique francophone.
Est-il raisonnable de prendre de nouvelles résolutions alors que nous manquons déjà de temps? Ou devrions-nous au contraire envisager de prendre des anti-résolutions?
Ce qui pourrait apparaître comme un échec était pourtant une petite avancée scientifique : nous n’avions pas montré ce qui était, mais nous avions montré ce qui n’était pas.
« Si vous n’êtes pas capables de résumer votre travail en un Tweet, c’est que vous ne l’avez pas compris vous-même, ou que vous serez obligés d’utiliser le #Thread. »
Quelle est la place du congé sabbatique dans la carrière académique? Comment la recherche peut-elle tirer parti de ce temps?