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Le gouvernement canadien veut renforcer les communautés francophones en situation minoritaire en accueillant des étudiantes et étudiants étrangers d’expression française qui souhaitent poursuivre des études postsecondaires en dehors du Québec.
Bien que le territoire n’accueille aucune université, plusieurs établissements partenaires seront touchés par le nouveau Cadre de responsabilisation en éducation postsecondaire.
Les chercheurs et chercheuses d’expression française évoluant en francophonie minoritaire bénéficient désormais d’un service totalement inédit pour préparer leur demande de financement en français. Et ça marche !
Le nouveau balado d’Affaires Universitaires propose des discussions approfondies avec des personnes expertes pour décrypter les enjeux universitaires qui façonnent le Canada d’aujourd’hui.
Alors que les établissements postsecondaires de l’Ontario jonglent avec de multiples défis, le nouveau ministre des Collèges et Universités devra rapidement prendre connaissance des dossiers, disent les spécialistes du secteur.
En science comme en culture, la faible découvrabilité dont jouissent les contenus francophones soulève des préoccupations majeures en matière d’égalité des chances et même, de survie.
Après l’arrivée de l’enjeu de la découvrabilité du contenu culturel francophone en ligne, il apparaît aussi maintenant du côté de la science. Si les deux naviguent dans des océans anglophones, ils se butent à des obstacles de natures différentes.
Les regroupements d’établissements postsecondaires jugent que « tout n’est pas noir » et accueillent favorablement la transparence du gouvernement quant à ses cibles des deux prochaines années.
Un programme de soutien par des membres du personnel volontaires formés en premiers soins en santé mentale pour aider leurs collègues.
« Les universités sont le meilleur endroit pour tenir ce genre de conversations difficiles, » dit Mira Sucharov.
L’ex-joueuse de soccer fait tomber les barrières.
Les 160 étudiantes et étudiants qui suivent le programme reçoivent une formation globale en matière de santé.
L’hiver dernier, l’Université Laurentienne a adopté un nouveau plan stratégique, comme le voulait le Plan d’arrangement avec les créanciers. Ce document porte l’espoir d’une « voie positive » pour l’institution. La communauté francophone reste aux aguets.
Les politiques scientifiques font de plus en plus mention de libre accès diamant. Mais, de quoi s’agit-il exactement ?
Le texte garantit que les universités ne seront pas soumises aux lois sur la faillite, et soulève des questions sur leur avenir financier.
Les opposantes et opposants au projet de loi estiment que ce dernier menace la liberté universitaire, l’autonomie institutionnelle et l’avenir du secteur de l’enseignement postsecondaire en Alberta.
La réforme, bien que globalement bien accueillie, suscite des grognements en raison de la mesure sur la bonification du financement des inscriptions et de la diplomation dans certains programmes jugés prioritaires.
La nouvelle tarification des droits de scolarité au Québec soulève des débats sur l’égalité et l’internationalisation de la francophonie, mais puise sa légitimité de faits historiques.
Bien que la CAQ semblait être ouverte en 2023 à rémunérer les stages dans les secteurs publics et parapublics, l’absence de mesure dans le dernier budget semble fermer la porte à l’idée.
La récente refonte de la gouvernance des fonds de recherche québécois inquiète une partie de la communauté scientifique, qui y voit une menace à la recherche libre. Le gouvernement la pré-sente plutôt comme une simple réforme administrative.