Étudiants
Devant la marée de demandes de mesures d’accommodement, nous avons modifié le système d’évaluation pour qu’il convienne aux enseignants, aux administrateurs et aux employeurs plutôt qu’aux besoins des étudiants en matière d’apprentissage.
Les effectifs à temps plein au premier cycle ont augmenté de deux pour cent cet automne comparativement à 2016.
Les auteurs recommandent une expérience d’apprentissage à l’étranger à au moins le quart des étudiants au cours des 10 prochaines années.
En se présentant désormais comme des services interconfessionnels, spirituels ou de santé mentale, les aumôneries sur les campus jouissent d’une nouvelle attention, mais le changement peut aussi être problématique.
Pourquoi les étudiants ne sont-ils pas plus nombreux à protester contre ce rituel universitaire angoissant?
La participation en classe est l’affaire de tous.
Les universités prennent des mesures pour aider les étudiants étrangers à réussir et les étudiants d’ici à élargir leurs horizons culturels.
Si un collègue a de la fièvre, on lui dit d’aller se reposer. Pourquoi ne pas traiter la maladie mentale avec autant de compréhension?
De nouvelles tendances sociolinguistiques émergent dans un récent rapport de l’Office québécois de la langue française portant sur les étudiants universitaires.
N’oublions pas les professeurs.
Les services d’accessibilité incitent les étudiants autistes à se tourner vers leurs pairs pour obtenir du soutien relativement à la vie universitaire.
Cinq ans après l’une des plus fortes mobilisations populaires qu’a connues le Québec, la question du sous-financement des universités reste entière et des questionnements profonds ébranlent le secteur.
Au vu du vaste choix de carrières qui s’offre aux étudiants aux cycles supérieurs — qu’ils choisissent le milieu universitaire ou des voies parallèles —, il n’est pas étonnant que certains aient peine à s’y retrouver. Le chemin menant à une carrière universitaire est assez clair, mais les étudiants aux cycles supérieurs sont souvent peu au […]
Le bénévolat dans les pays en développement séduit de plus en plus d’étudiants universitaires. Des voix se font toutefois entendre pour le rendre conforme à l’éthique et utile, pour les étudiants comme pour leurs hôtes.
« Il est rare que quelqu’un se radicalise seul dans son sous-sol »
Malgré les efforts pour le rendre plus juste, ce processus favorise les étudiants nantis.
Cet article est un sommaire de l’article « Contests to communicate research gain in popularity». Si vous croyez qu’il est difficile de faire rire avec des plaisanteries sur l’optométrie, alors vous n’avez probablement pas vu l’exposé (en anglais seulement) de Gah-Jone Won, doctorant à l’Université de Waterloo, qui lui a valu la première place au […]