Politiques
Dans cette nouvelle chronique, je vous propose d’examiner divers enjeux universitaires sous un autre angle, en commençant par la relative normalité de la situation actuelle.
Bien qu’il soit plus fréquent que les hommes prennent un congé parental, les politiques et les mesures de soutien sont encore loin d’être adaptées aux pères.
Devant un comité de la Chambre des communes le mois dernier, des recteurs et des représentants du milieu universitaire ont souligné l’importance d’un soutien pour les étudiants étrangers et du maintien des fonds d’urgence pour la recherche.
Un plaidoyer pour l’intégration formelle et adéquate d’une éducation relative à l’environnement au sein des curriculums, et ce, du préscolaire à l’université.
Il est probable que le tsunami des travaux de recherche enclenchés par la pandémie de COVID-19 produise son lot de conflits reliés à la confidentialité des données de recherche ou à la propriété intellectuelle.
Il est impossible d’éliminer la bureaucratie, mais l’application de lignes directrices simples issues de pratiques exemplaires peut vraiment la réduire.
La COVID-19 a rendu le milieu universitaire très réactif, mais la recherche prend du temps.
Il faut une crise sans précédent comme celle que nous traversons pour bien saisir la nécessité de respecter les lois, non seulement par obligation, mais d’abord parce que c’est justifié et raisonnable, voire salutaire pour soi-même et pour tous.
L’« effet Trump », qui, selon de nombreux médias, devait pousser des flots d’étudiants étrangers vers le Canada, ne s’est pas fait ressentir.
Après plusieurs années de travail, l’université a reçu la reconnaissance officielle qu’elle est un établissement bilingue.
Les libéraux ont beau prétendre que « la science est au cœur de chaque action du gouvernement », seuls des gestes symboliques et un discours rassurant sont pour l’heure au rendez-vous.
De plus en plus d’établissements déclarent l’état d’urgence pour préparer personnel et étudiants à des temps plus difficiles.
Depuis novembre, les étudiants et le personnel de l’Université de Sherbrooke peuvent choisir leur nom, prénom et genre apparaissant sur des documents officiels.
Les approches face à la politique controversée varient d’une université à l’autre, laissant certains établissements moins bien outillés.
Le milieu universitaire a rarement reçu autant d’appuis pour dénoncer une politique québécoise que dans cette crise qui frappe l’éducation postsecondaire.
Les grappes sont souvent perçues comme une façon de favoriser la collaboration interdisciplinaire, mais elles s’accompagnent de défis particuliers.
Les chercheurs s’entendent pour dire qu’il est désormais temps de s’adapter.
Plusieurs universités ne disposent pas encore de politiques adéquates pour s’attaquer à la cyberintimidation, ce qui n’est pas sans conséquences pour les universitaires qui en sont victimes.
La science n’est généralement pas au cœur des préoccupations pendant les élections fédérales. Nous pensons que cela doit changer.
Il devrait être possible de conjuguer carrière florissante en STGM et activités parentales gratifiantes.