Pour une personne étudiante en provenance de l’étranger, chaque jour apporte son lot de nouvelles aventures, de nouveaux défis et de nouvelles opportunités de croissance.
Le 22 août 2024 , Kevin Samuel est arrivé à Montréal en provenance du Kenya après un périple après un périple qu’il décrit comme « le vol le plus long de [sa] vie ». Âgé de 43 ans, cet étudiant s’est installé dans la métropole pour au moins trois ans afin de poursuivre un doctorat en santé publique à l’Université de Montréal, axé sur l’utilisation du microdosage de champignons psychédéliques séchés pour traiter la dépression.Dès son arrivée, il a ressenti le besoin d’explorer son environnement et de s’installer confortablement dans l’appartement qu’il partage avec une colocataire. Il s’est également retrouvé à explorer la cuisine locale, à découvrir de nouvelles saveurs et à s’adapter à différentes préférences alimentaires.En naviguant dans un environnement inconnu, il a manoeuvré habilement dans les rues animées, trouvant son chemin vers le campus pour y rencontrer son superviseur, Rod Knight ainsi que des nouveaux collègues.En fin de journée, Kevin Samuel a l’occasion de se réunir avec des amis et de partager des histoires, cuisiner des plats traditionnels et célébrer les différents héritages culturels. De religion bouddhiste, il a aussi rejoint un groupe avec lequel il fait des méditations en ligne. Ces moments de connexion aident les personnes étudiantes internationales à se sentir chez elles, même à des milliers de kilomètres de leur pays d’origine.
Selena Phillips-Boyle est un·e artiste visuel·le travaillant avec l'image, établi·e à Tiohtià:ke (Montréal, Canada), dont la pratique se situe à l’intersection du travail, du genre et de la sexualité.
Affaires universitaires fait la modération de tous les commentaires en appliquant les principes suivants. Lorsqu’ils sont approuvés, les commentaires sont généralement publiés dans un délai d’un jour ouvrable. Les commentaires particulièrement instructifs pourraient être publiés également dans une édition papier ou ailleurs.
Please fill in all required fields and make sure your comment is less than 1500 characters.
Le 6 novembre, la ministre de l’Immigration du Québec a annoncé la suppression du Programme de l’Expérience Québécoise (PEQ), l’une des principales portes d’entrée vers la résidence permanente pour les personnes étudiantes internationales diplômées et les travailleurs temporaires établis au Québec.
Au-delà des répercussions financières de la diminution des étudiantes et étudiants internationaux pour les établissements, les récentes règles ont des effets bien réels sur la recherche.
Le permis d’études, document censé ouvrir les portes d’un avenir prometteur, fait l’objet d’un détournement massif orchestré par des réseaux criminels bien rodés. Ce phénomène menace à la fois l’intégrité des institutions postsecondaires canadiennes et les projets de vie de milliers de personnes qui souhaitent s’établir et étudier au Canada.
Les universités québécoises mettent en place diverses mesures pour aider leur population étudiante face à l’inflation et à la crise du logement Mais est-ce suffisant ?
Entre restrictions migratoires, politiques linguistiques, remise en question de la liberté académique et coupes budgétaires, les universités du Québec traversent une tempête sans précédent.
Comme toutes les grandes organisations, les universités canadiennes sont visées par les cybercriminels. Le professeur Benoît Dupont partage ses réflexions.
Rejoignez des milliers de personnes qui reçoivent chaque semaine des conseils de carrière, des nouvelles, des chroniques d’opinion et des reportages d’Affaires universitaires.
Laisser un commentaire
Affaires universitaires fait la modération de tous les commentaires en appliquant les principes suivants. Lorsqu’ils sont approuvés, les commentaires sont généralement publiés dans un délai d’un jour ouvrable. Les commentaires particulièrement instructifs pourraient être publiés également dans une édition papier ou ailleurs.