Le professeur Sanni Yaya est vice-recteur, International et Francophonie, à l’Université d’Ottawa, titulaire de la Chaire Senghor sur la santé et le développement et membre de la Société royale du Canada.
Le professeur Sanni Yaya est vice-recteur, International et Francophonie, à l’Université d’Ottawa, titulaire de la Chaire Senghor sur la santé et le développement et membre de la Société royale du Canada.
Creusets traditionnels des savoirs, les universités pourront-elles encore jouer ce rôle dans l’avenir?
La coopération interuniversitaire s’impose pour l’émergence de nouveaux modes de collaboration et de transmission des savoirs, grâce à l’intelligence artificielle.
Gardien de la liberté d’expression et de la pensée critique, l’enseignement supérieur joue un rôle incontestable dans le maintien de systèmes démocratiques stables et équilibrés.
La question n’est pas tant de mettre fin à la migration des compétences que d’équilibrer le capital humain.
Notre avenir collectif et celui des générations futures sont tributaires d’un financement adéquat de l’enseignement supérieur.