Wendy Glauser est journaliste à Toronto.
Wendy Glauser est journaliste à Toronto.
« Les sages-femmes ont beaucoup à offrir, plaide la directrice du programme, et le Canada leur fait peu de place comparativement à d’autres pays. »
Améliorer les infrastructures de laboratoire et la capacité de formation à l’échelle du pays permettrait de préparer nos chercheurs en cas d’émergence d’une nouvelle maladie.
La violence conjugale, les familles avec de jeunes enfants, les personnes handicapées et la santé mentale des Autochtones font partie des nombreux sujets à l’étude.
Selon des chercheurs, les communicants en santé publique doivent faire preuve d’humilité, admettre ce qu’ils ne savent pas et, surtout, favoriser le dialogue.
Ces applications vous permettront de savoir si vous avez été en contact avec une personne infectée, explique Emily Seto de l’Université de Toronto, mais il reste encore beaucoup d’obstacles à surmonter avant qu’elles soient adoptées massivement par la population.
Partout au pays, des universités modifient leurs processus d’admission pour attirer les étudiants issus de milieux défavorisés.
L'interdiction pour les étudiants noirs d’étudier la médecine était en vigueur depuis des décennies, puis oubliée, et n'a seulement été officiellement abrogée qu'il y a deux ans.
Entrevue avec Ross Upshur, expert en santé publique à l’Université de Toronto.
Les chercheurs s'entendent pour dire qu'il est désormais temps de s'adapter.
Les milliers de signataires d’une lettre ouverte affirment qu’il est temps de passer à une solution plus simple.
Augmenter le nombre d’étudiants autochtones en médecine et étoffer les volets sur la santé des Autochtones figurent parmi les engagements et s’ajoutent aux mesures déjà prises.