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Crise en santé mentale : les universités se doivent de montrer l’exemple
Une approche holistique du bien-être sur le campus est nécessaire au changement.
Une approche holistique du bien-être sur le campus est nécessaire au changement.
Souvent passé sous silence, ce travail peut avoir des conséquences négatives si les étudiantes et étudiants ne sont pas suffisamment soutenus.
Les leaders de nos universités effectuent et supervisent un travail émotionnel considérable, et gagneraient à s’inspirer de l’éthique du soin.
Quand le stress nous submerge, rappelons-nous ce que nous voulions accomplir en milieu universitaire.
Forte d’une subvention fédérale de quatre millions de dollars, l’École d’art et de design de l’Ontario aide quatre autres établissements postsecondaires à lancer l’initiative Mindful Campus l’automne prochain.
La pandémie a plutôt offert une rare occasion d’observer le pouvoir et l’importance de l’imagination.
Une étude récente révèle des différences considérables entre le rapport au travail vécu par les doctorantes et les doctorants durant la première vague et recommande d’individualiser davantage le soutien.
Il faudra offrir des services de santé mentale flexibles cette année, selon un nouveau rapport.
Même si personne ne veut en arriver là, l’épuisement professionnel peut être une source d’introspection et de changement.
Comment un cours sur la science de l’apprentissage est-il devenu un cours sur l’importance de la santé mentale dans l’acquisition de compétences universitaires?
Si personne ne conteste la pertinence d’avoir un plan d’action sur la santé mentale étudiante, les moyens qui y sont associés ne font pas l’unanimité.
Certaines perfectionnent leurs programmes existants; d’autres planifient de grandes campagnes de promotion de la santé en ligne et en personne.
Les thérapeutes disent avoir dû s’adapter en pleine crise en raison de la pandémie.
De l’espoir aux guides de survie… faut-il s’étonner du taux de détresse psychologique de la population étudiante?