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Santé mentale étudiante : et si on regardait au-delà de l’individu?
L’amélioration des milieux de vie dans lesquels les personnes étudiantes évoluent serait un levier important pour promouvoir leur santé mentale.
L’amélioration des milieux de vie dans lesquels les personnes étudiantes évoluent serait un levier important pour promouvoir leur santé mentale.
À l’heure où la santé mentale étudiante est en difficulté et préoccupe la santé publique, le contact avec la nature pourrait-il faire partie des solutions ?
Accompagnons l’amélioration continue des pratiques visant la santé mentale étudiante dans nos établissements d’enseignement supérieur.
Les liens sociaux, un remède essentiel contre l’isolement et un pilier pour la santé mentale des personnes étudiantes.
Un nouvelle ressource permet à la population étudiante d'approfondir leur compréhension de la santé mentale, d'en prendre soin et de trouver des outils pertinents.
Cette allocation a pour but de faciliter l'accès aux soins et soutenir les initiatives de santé mentale, alors que les expert.e.s appellent à une coordination accrue entre les niveaux fédéral et provincial pour optimiser les investissements.
Le travail émotionnel et les soins font partie intégrante de l’activité universitaire et devraient être reconnus comme tels.
Malgré toutes les bonnes intentions du monde, nos interactions avec nos superviseur.e.s peuvent engendrer stress, culpabilité et angoisse.
Malgré les efforts déployés pour protéger la santé mentale étudiante, les services offerts ne répondent pas aux besoins.
Un système qui vous permettra de délimiter vos engagements d’une façon peu commune chez les universitaires.
Le modèle traditionnel a souvent exclu bon nombres de membres de la communauté et l’appel pour un milieu plus inclusif, accessible et empathique se fait entendre.
Forte d’une subvention fédérale de quatre millions de dollars, l’École d’art et de design de l’Ontario aide quatre autres établissements postsecondaires à lancer l’initiative Mindful Campus l’automne prochain.
La pandémie a plutôt offert une rare occasion d’observer le pouvoir et l’importance de l’imagination.
Une étude récente révèle des différences considérables entre le rapport au travail vécu par les doctorantes et les doctorants durant la première vague et recommande d’individualiser davantage le soutien.