Un étudiant chinois s’est récemment vu refuser le visa qui lui permettrait d’obtenir un doctorat au Canada, ce qui soulève une question : peut-on présumer des motivations d’autrui?
En demandant à des groupes étudiants de revenir sur des déclarations controversées, la ministre des Collèges et Universités de l’Ontario a prouvé que la politique de son gouvernement n’était que du vent.
La situation impliquant Marc Tessier-Lavigne, recteur de l’Université Stanford, en est un exemple probant.
Le Comité consultatif sur le système fédéral de soutien à la recherche n’est qu’une étape de plus dans un cycle sans fin d’examens et de rapports sur l’infrastructure fédérale en la matière.
Pourquoi le gouvernement fédéral persiste-t-il à faire pleuvoir argent et ressources sur ce projet?
La COVID-19 a rendu le milieu universitaire très réactif, mais la recherche prend du temps.
L’« effet Trump », qui, selon de nombreux médias, devait pousser des flots d’étudiants étrangers vers le Canada, ne s’est pas fait ressentir.
Les libéraux ont beau prétendre que « la science est au cœur de chaque action du gouvernement », seuls des gestes symboliques et un discours rassurant sont pour l’heure au rendez-vous.
Les grappes sont souvent perçues comme une façon de favoriser la collaboration interdisciplinaire, mais elles s’accompagnent de défis particuliers.
Voici quelques idées favorables à la science, aux compétences et à l’innovation en vue des élections fédérales de l’automne.
Le gouvernement aurait peut-être réussi à mieux défendre sa position en cherchant à s’entendre avec la nouvelle université au sujet des contraintes budgétaires.