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Ingérence politique dans la recherche: le Canada et le Québec également en terrain vulnérable
Lettre ouverte de la communauté historienne
Lettre ouverte de la communauté historienne
La tension entre les impératifs de sécurité et l'ouverture à la diversité dans la recherche universitaire expose les défis complexes que le Canada doit relever pour maintenir son engagement mondial tout en protégeant ses intérêts nationaux.
Lors des conflits internationaux, les universités canadiennes se retrouvent à jongler avec la promotion de la libre expression, la protection de la liberté académique et la gestion des pressions externes.
David Robinson, directeur général de l’Association canadienne des professeures et professeurs d’université, livre ses réflexions sur la menace que fait peser le débat au sujet du conflit Israël-Hamas sur les principes fondamentaux de liberté académique.
Le débat sur la pertinence d’adopter une loi sur la liberté académique au Québec ne date pas d’hier, il remonte au moins à la Révolution tranquille.
Si certains se réjouissent de l’approche privilégiée, d’autres la jugent inadaptée.
La liberté d’expression et la liberté académique sont-elles immuables ou tombées du ciel?
Comment baliser la liberté académique qui devrait être sans entrave, illimitée et inaliénable?
La liberté académique permet de réfléchir sur tous les sujets, mais un universitaire peut-il alimenter une théorie raciste?
Pas de consensus sur l’issue que devraient avoir les travaux du comité se penchant sur la reconnaissance de la liberté académique au Québec.
Qu’advient-il de la liberté universitaire des étudiants?
Ce n’est pas parce que les professeurs peuvent utiliser le « mot en n » qu’ils doivent le faire.
Un cours en ligne est maintenant offert par l'Université TÉLUQ sur les normes, les fondements et les enjeux de la liberté d’expression.
Nous tendons à nous concentrer sur les droits qui sont associés à la liberté universitaire plutôt que sur la raison pour laquelle elle existe en premier lieu.